Pourquoi je me suis inscrit à l’ecole des danses latines-tropicales ?
J’ai 45 ans, je suis banquier, et je pratique régulièrement des cours de salsa, bachata, kizomba.
Mon métier est extrêmement prenant. Il me demande beaucoup de concentration toute la journée. Les cours de danses latines-tropicales permettent de me détendre plusieurs fois par semaine après le boulot. Le rythme, la connexion, l’ouverture d’esprit, la liberté, la facilité de rencontre… je me laisse transporter. De manière assidue, je suis des cours de salsa, de bachata et de kizomba, au gré de mes envies au cours de la semaine et lors des stages du week-end.
Pourquoi je me suis inscrit à l’Ecole des Danses Latines-Tropicales ?
Je me suis mis aux danses latines assez tardivement dans ma vie.
En août 2019 j’ai commencé par la salsa cubaine. Et j’étais agréablement surpris ! En effet, je me suis retrouvé très vite dans une ambiance familiale à l’Ecole de Danses Latines-Tropicales, ce qui a boosté mon apprentissage. Les élèves sont agréables, nous sommes tous là pour apprendre, pour partager un bon moment, il n’y a pas de peur du jugement, les professeurs sont sympathiques et pédagogues.
Pourquoi je vais aux cours de danse en moyenne 6 fois par semaine ?
Je suis un mélomane de nature, et j’écoutais beaucoup de musique, notamment latino. Un jour j’ai décidé d’apprendre les danses latines. Au fil des cours, j’ai pris de plus en plus de plaisir. Au début, j’ai commencé par prendre quelques séances, puis ma passion a mûri, a grandi, j’ai ressenti le besoin de revenir de plus en plus souvent en cours, pour partager ces instants avec ces gens avec qui je me suis lié d’amitié. J’ai donc opté pour un forfait A Volonté. Je rencontre des personnes agréables, de mondes et de cultures différentes, avec qui je partage cet amour du rythme et des danses latines-tropicales. Après quelques mois en salsa cubaine, j’ai élargi mon bagage en danse en me mettant aussi à la bachata et à la kizomba.
Que m’apportent les danses latines ?
Lorsque je pratique les danses latines à deux, au-delà de la technicité, je pense que ce qui compte le plus c’est la connexion avec l’autre. Oui, c’est une connexion des âmes, loin d’être parfaitement technique…
Comme disait Martha Graham, danseuse et chorégraphe américaine, « la danse est le langage caché de l’âme ». Ressentir et partager cette connexion permet de raconter une histoire, d’exprimer nos émotions à travers les mouvements du corps, sur les rythmes joyeux des danses latines-tropicales.